Il faut bien commencer par quelque chose. Alors je commence par mon commencement.

Je dédicace ce futur livre à ma Maman. Avec quasiment rien, seule envers et contre tout, elle a réalisé le raisonnablement impossible.  Elle m'a prouvé que l'intention alimenté par l'Amour est toujours plus fort que le fatalisme. L'Amour tout seul est beaucoup plus fort que la haine, la colère, le désespoir et la résignation tous réunis. Plus fort que tout.

Cette dédicace s'étend à toutes les mamans. A toutes les femmes.

Dans l'histoire de France, le statut de la femme se résume ainsi. Jusqu'en 1948 (droit de vote accordé à la gente féminine), la femme est l'esclave de l'esclave ou, au mieux, l'esclave du négrier. Il aura fallut une deuxième guerre mondiale pour que les hommes en France décident enfin de demander aux femmes leur avis à bulletin secret. 75 ans plus ans dans le monde, les femmes sont toujours les seconds couteaux de la société. Elles représentent 50% de l'humanité et seulement 6% des chefs d'états. C'est inique. Mais surtout stupide. 

Il évident à tout le monde, il me semble, que nous vivrions dans une société à minima beaucoup plus douce si les femmes étaient aux commandes de notre civilisation. 

Et à propos de douceur, une femme en France meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint. La première des causes qui pousse un homme a ôter la vie à sa femme c'est qu'il considère qu'elle lui appartient. Jamais le nom conjoint aura aussi bien porté son nom.

Le mâle lui aussi n'a jamais aussi bien porté son nom parce qu'on l'a laissé faire comme un enfant indiscipliné.

L'homme a eu 200 000 ans pour nous prouver à tous qu'il pouvait enfin devenir mature. Non seulement, il a échoué mais il est en train de détruire en quelques années la biosphère qui est née il y a 4,5 milliards d'années. Juste pour jouer au plus fort. Cela suffit! Nous n'avons plus le temps. Nous devons agir dans l'urgence en partant du principe que les femmes savent prioriser pour le bien commun. 

Jamais les femmes enverraient leurs enfants se faire tuer dans une guerre, jamais elles gaspilleraient au lieu de partager avec ceux dans le besoin et surtout jamais elle laisseraient la Terre mourrir sans prendre des décisions radicales pour inverser le processus mortifère. J'en suis absolument persuadé. Et vous?

Merci messieurs pour ce que vous avez réussi mais aujourd'hui votre bilan est bien trop mauvais et ce depuis trop longtemps.Vous avez été un piètre artisan soyez au moins un bon outil. Vous ne vous en porterez que mieux et la planète vous remercie par avance.